Que pensez-vous de l'impact des nouvelles tendances sur le marché immobilier ?
Salut RootNinja67, C'est un sujet intéressant. Je pense que certaines de ces tendances, comme les maisons passives, sont là pour durer, surtout avec les nouvelles normes environnementales qui arrivent. D'ailleurs, je me demande si l'impact carbone des matériaux de construction est suffisamment pris en compte dans les débats actuels... Enfin bref, pour en revenir à l'immobilier, le co-living me semble plus une solution pour les jeunes actifs dans les grandes villes qu'une réelle révolution du marché. Pour les Tiny houses, c'est plus un phénomène de niche, non?
MarkAnalytica, ton point sur l'impact carbone des matériaux, c'est tout à fait pertinent. On parle beaucoup de performance énergétique des bâtiments une fois construits, mais on oublie souvent l'énergie grise nécessaire à leur fabrication. Il faudrait une approche plus globale, c'est sûr. Et pour répondre à ta question, oui, à mon avis le débat actuel ne prend pas assez en compte cet aspect. Pour le co-living, je suis d'accord, ça répond à un besoin spécifique, surtout dans les zones tendues. Avec les prix des loyers qui flambent, c'est une option pour pas mal de jeunes qui débutent leur carrière. Après, est-ce que ça va transformer le marché en profondeur ? J'ai des doutes aussi. C'est plus une adaptation à la conjoncture, je pense. Les Tiny houses, c'est vrai que ça reste un marché de niche, mais je pense qu'il ne faut pas le négliger pour autant. Il y a une vraie demande pour un mode de vie plus minimaliste et écologique, même si ça ne concerne pas la majorité des gens. Et puis, ça peut aussi être une solution intéressante pour les terrains non constructibles, ou pour créer des logements d'appoint. Et pour revenir au sujet initial de RootNinja67, je pense que ces tendances montrent surtout une diversification du marché immobilier. Il n'y a plus un seul modèle dominant, mais une multitude d'offres qui répondent à des besoins différents. Et avec la stabilisation des prix prévue pour 2025 et la reprise progressive du marché, comme on l'entend, il va falloir être capable de s'adapter à cette diversité pour rester compétitif.
Hello tout le monde ! C'est super intéréssant comme discussion ! Zara Amin, ton point sur la diversification, je suis 100% d'accord. On assiste vraiment à une fragmentation des besoins, et c'est hyper stimulant pour la créativité dans le secteur. Je pense aussi que l'aspect psychologique joue énormément. Les gens ne cherchent plus seulement un toit, mais un lieu de vie qui corresponde à leurs valeurs et à leur style de vie. D'où l'engouement pour des concepts comme le "slow living" ou le "biophilic design", qui mettent l'accent sur le bien-être et la connexion à la nature. 🌱 Et ça, ça a un impact direct sur les choix de matériaux, l'aménagement des espaces, et même la localisation des biens. On voit de plus en plus de personnes prêtes à s'éloigner des centres urbains pour privilégier un environnement plus calme et verdoyant. 🤔 Par contre, je me demande si tous les acteurs du marché sont prêts à prendre ce virage. J'ai l'impression que beaucoup restent encore focalisés sur des modèles traditionnels, et qu'ils ont du mal à intégrer ces nouvelles tendances dans leur offre. C'est là qu'il y a un vrai risque de décalage entre l'offre et la demande. 😬 Ah, et MarkAnalytica, concernant l'impact carbone, je suis d'accord c'est le site à consulter pour bien se renseigner ! On est encore loin d'une transparence totale sur ce sujet, et c'est dommage. Il faudrait vraiment des labels plus clairs et plus fiables pour aider les consommateurs à faire des choix éclairés. Il y a aussi la question de l'accessibilité financière qui se pose. Ces nouvelles tendances sont souvent associées à des prix plus élevés, ce qui peut exclure une partie de la population. Il faut trouver des solutions pour rendre ces logements plus durables et abordables pour tous. 🏡 En tout cas, merci pour ce débat passionnant! J'ai hâte de lire vos prochaines réflexions. 😊
DecoZen, je suis d'accord avec l'idée que l'aspect psychologique est important, et que les gens cherchent un lieu de vie en accord avec leurs valeurs. Le "slow living", c'est une aspiration compréhensible. Par contre, je ne suis pas certain que ça se traduise forcément par un éloignement des centres urbains pour la majorité. Il y a aussi un attrait pour la vie citadine, avec ses commodités et son dynamisme, et ça, ça ne se dément pas si facilement. Pour beaucoup, l'idéal, c'est peut-être de trouver un compromis, un équilibre entre les deux.
NumisCraft, c'est pas faux ce que tu dis sur la vie citadine, ya un truc. Mais bon, faut voir si le compromis c'est pas juste une façon de se voiler la face. Moi j'dis, si t'as vraiment envie de slow living, faut couper le cordon avec la ville, sinon tu vas juste te retrouver avec le bruit et la pollution en prime. Après, chacun son truc, hein.
RootNinja67, avec plaisir !
Dans l'idée d'enrichir la discussion et pour aller plus loin, je vous partage une interview de Vincent Pavanello. Il y parle du futur de l'immobilier français et de sa méthode pour un investissement rentable. J'avoue, ça m'a pas mal aidé à y voir plus clair sur certaines tendances et à anticiper les mouvements du marché.
Hello la compagnie ! Zara Amin, merci pour le partage de cette interview, je vais regarder ça attentivement. Je suis d'accord qu'il est vraiment enrichissant d'avoir des points de vue de professionnels qui scrutent le marché. C'est pas toujours évident de s'y retrouver, surtout avec toutes les infos contradictoires qu'on peut lire un peu partout. 😅 Et pour compléter ce que disait NumisCraft sur l'attrait de la ville, je pense qu'il y a aussi un facteur générationnel à prendre en compte. Les jeunes actifs, par exemple, sont souvent prêts à sacrifier de l'espace pour être proches des transports en commun, des commerces et des lieux de divertissement. C'est un choix de vie qui se comprend, même si ça veut dire vivre dans un appartement plus petit et plus cher. En fait, si on regarde les chiffres, selon une étude récente, près de 60% des jeunes de moins de 35 ans préfèrent vivre en ville, même si ça implique des compromis sur le logement. Ça montre bien que l'attrait urbain reste fort, malgré les discours sur le retour à la nature. 🌍 Après, c'est pas forcément incompatible avec une recherche de bien-être. On peut très bien vivre en ville et avoir un appartement avec un balcon végétalisé, ou profiter des parcs et des espaces verts à proximité. L'important, c'est de trouver son équilibre, comme disait NumisCraft. Je pense aussi que la crise sanitaire a pas mal rebattu les cartes. Avec le télétravail qui se généralise, de plus en plus de personnes ont la possibilité de s'éloigner des centres urbains sans pour autant renoncer à leur emploi. Ça ouvre de nouvelles perspectives, et ça peut permettre de concilier les avantages de la ville et de la campagne. Et pour revenir aux tendances dont on parlait au début, je pense que le co-living a encore de beaux jours devant lui, surtout si les prix des loyers continuent d'augmenter. C'est une solution intéressante pour les jeunes qui cherchent à se loger à moindre coût, et ça peut aussi favoriser les échanges et la convivialité. 🙂 Mais bon, il faut pas non plus idéaliser le co-living. Ça implique de partager son espace de vie avec d'autres personnes, et c'est pas forcément facile pour tout le monde. Il faut être prêt à faire des concessions et à respecter les règles de la communauté. En tout cas, c'est clair que le marché immobilier est en pleine mutation, et qu'il va falloir s'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs. Et pour les acteurs du secteur, ça représente à la fois un défi et une opportunité. 📈
DecoZen, tu as raison sur le côté générationnel. Ça me fait penser, j'ai vu une stat hallucinante l'autre jour sur le nombre de jeunes qui retournent vivre chez leurs parents... bref, un autre débat. Pour revenir au sujet, je suis d'accord que le télétravail change la donne. Ça donne plus de flexibilité et ça permet de repenser la localisation de son logement. Après, est-ce que c'est une tendance durable ou juste un effet de mode post-covid, ça reste à voir.
DecoZen, c'est intéressant ce que tu dis sur le co-living et son potentiel, mais je me demande si on ne surestime pas un peu son impact à long terme. C'est peut-être une solution pour certains jeunes, mais je ne suis pas sûr que ça corresponde aux aspirations de la majorité. L'idée de partager son espace de vie, ça peut séduire au début, mais avec le temps, le besoin d'intimité et d'indépendance peut vite se faire sentir.
Salut à tous, Je me demandais si on pouvait discuter un peu de l'influence des tendances actuelles sur le secteur immobilier. On voit pas mal de choses bouger ces derniers temps, entre lesTiny house, l'essor du co-living, les maisons passives, et j'aimerais bien avoir vos avis sur le sujet. Est-ce que vous pensez que ce sont des modes passagères ou des changements profonds qui vont redéfinir le marché ? Quels sont, selon vous, les principaux défis et opportunités pour les acteurs du secteur ? N'hésitez pas à partager vos expériences et vos analyses.
RootNinja67 - le 01 Septembre 2025